ORIENTATION NATUROPATHIQUE DE LA PREVENTION DU CANCER

DU SEIN EN COLLABORATION

AVEC LA MEDECINE CONVENTIONNELLE 

 

 

 

Depuis un certain nombre d'années, je cherche à découvrir les pistes qui pourraient conduire les femmes à la prévention du cancer du sein. Actuellement elle repose essentiellement sur la mammographie qui n'est pas à proprement parler une véritable prévention puisqu'elle n'empêche pas la survenue de la maladie. Quand il est question d'avoir recours à une mammographie, il est malheureusement souvent déjà trop tard.

C'est pourquoi et dans un premier temps je vous invite à lire une étude publiée par E3N : https://web.archive.org/web/20151122164013/http://www.e3n.fr/index.php/principaux-resultats/cancer-sein/75-cancer-du-sein-et-nombre-de-cycles-menstruels

ou si le serveur est indisponible (parfois) l'étude est disponible en téléchargement ci-dessous

Télécharger
Etude E3N
Une étude sur le lien entre le nombre de cycles menstruels et le cancer du sein
Cohorte E3N - Cancer du sein et nombre d
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Dans un second temps voici une étude bien antérieure liée à l'observation des autorités sanitaires canadiennes et intitulée comme suit qui relate l'inexistence du cancer du sein chez les femmes Inuits canadiennes :

L'évolution de la maladie néoplasique dans l'ouest et le centre de l'Arctique canadien (1950-1980)

Les données sur 239 cas vérifiés de maladie maligne diagnostiqués de janvier 1950 à décembre 1980 chez 104 hommes et 135 femmes inuits de l'ouest et du centre de l'Arctique canadien ont été examinées. Les tumeurs des glandes salivaires, du rein et du nasopharynx étaient les plus fréquentes entre 1950 et 1966, mais leur fréquence a diminué par la suite. Les tumeurs les plus fréquentes dans la période la plus récente étudiée étaient les cancers du poumon, du col de l'utérus et colorectal. Le cancer du sein était absent avant 1966 et n'a été observé que chez 2 des 107 Inuites canadiennes atteintes de cancer de 1967 à 1980, alors que les taux récents chez les Inuits de l'Alaska et du Groenland acculturés se rapprochent de ceux des femmes occidentales modernes. Les Inuits semblaient plus enclins que les autres Nord-Américains au cancer de l'œsophage, le foie et l'ampoule de Vater mais moins enclins au cancer de la peau, de la prostate, du pancréas et de l'estomac. La réduction graduelle de la fréquence relative des tumeurs typiques des Inuits traditionnels et leur remplacement par des tumeurs «modernes» semblent refléter l'histoire de l'acculturation locale. Divers facteurs liés à l'environnement, aux habitudes alimentaires et au mode de vie peuvent contribuer à l'évolution inhabituelle et changeante des caractéristiques épidémiologiques du cancer chez les Inuits du Canada.

L'étude complète est consultable à l'adresse suivante en cliquant ici

 

 En conlusion : et si les règles n'étaient plus la REGLE

 

Ces deux études représentent les fondations de l'édifice d'une nouvelle prévention du cancer du sein car il existe une véritable prévention !!

 

Je vous résume très grossièrement l’idée, car sincèrement, je vous encourage à découvrir comment une simple pilule peut vous éviter bien des tracas et être préventive pour le cancer du sein.

En gros, qui dit cycle (règle), dit renouvellement cellulaire. Qui dit renouvellement cellulaire dit risque de développement d’une cellule cancéreuse. Les règles générées par les pilules à oestrogènes (au moment de l’arrêt de 7 jours ou des prises de pilules placebo placées en fin de plaquette), sont de fausses règles et Inutiles. Rassurantes pour certaines ? Beaucoup de jeunes filles d'aujourd'hui ont leurs règles alors qu'elles sont au collège, voire à l'école primaire. A cet âge, les règles sont irrégulières, imprévisibles et souvent douloureuses: nombreuses sont celles qui manquent les cours les jours de règles et/ou consomment des médicaments anti-inflammatoires contre les règles douloureuses. En outre, la difficulté de mettre des protections internes à cet âge complique un peu plus leur vie.

Le risque de cancer du sein est proportionnel au nombre de cycles et de règles. La fréquence des cycles chez la femme a été multipliée par 4 ou 5 par rapport à un mode de vie naturel mais l’organisme féminin n’est pas fait pour supporter 450 cycles. (« avant », nos ancêtres femmes allaitaient longtemps, puis enchainaient avec une nouvelle grossesse, elles avaient donc très peu de cycles). Les pilules oestroprogestatives avec cycles artificiels sont donc potentiellement cancérogènes du fait qu’elles entrainent des cycles. Seule une pilule contenant uniquement de la progestérone mettant en sommeil les ovaires pourrait ne pas comporter de tels risques.

 

Si vous souhaitez en savoir plus je vous invite à découvrir la solution lors d'une consultation naturopathique.